TOKOTO ASHANTY – Nyolo (1983)

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Paroles et musiques du camerounais Tokoto Ashanty alias l’homme de chèvre, ou l’étonnante créature du lac noir… (1983).
Que du bonheur! avec ce surdoué autodidacte. Aujourd’hui, il vit en France (il y est depuis des décennies) où il se consacre à la peinture et à l’écriture. Décidemment, un homme multidimensionnel et énigmatique.

 

Comments

Danie Tchanwou says:
kasongomamale says:

C’est avec une grande tristesse que j’apprends à l’instant le décès de papa
Ashanty Tokoto. L’homme de chèvre s’en est allé! Mais il reste parmi nous,
dans nos coeurs, car il a juste changé de nature, il est juste passé de
l’autre côté remplir une autre mission, après avoir terminé celle qu’il
avait ici sur terre. Annette, nous partageons tous la douleur qui est la
tienne et dont l’intensité n’a d’égale que la grandeur de ton illustre
papa, notre papa. Condoléances les plus attristées.

kasongomamale says:

Bonjour Katchinamana, j’aurai bien aimé être à ta place en 1978 et 1980
pour voir papa Ashanty en scène. J’ai jamais eu cette occasion, et
maintenant qu’il est parti! Merci de partager ces souvenirs avec nous.

Man Ray says:

RIP

Katchinamana says:

Je confirme ce que Kasongomamale a si bien écrit. Vives Consolations.
J’aurai au moins eu la chance de le voir en concert, deux fois, 1978 et
1980, quand il était au sommet avec les Astos (A. Tokoto Show, je crois).
C’est encore un pan d’une époque qui s’en va… La vie est comme ça, un
renouvellement perpétuel.

Katchinamana says:

Ca va pas me rajeunir mais bon 🙂 1978 – 20 ans au pouvoir d’Ahidjo – la
crème de la musique camerounaise d’alors, se produit pdt 2 ou 3 jours au
stade omnisports de Yaoundé, après avoir joué à Douala, si mes souvenirs
sont bons. Tokoto est appelé, bien sûr. Il soulève la foule et la fait
rire, avec ses chorégraphies “à la manière de… telle tribu ou tel
animal”. 1980 – cinéma Abbia de Ydé – pdt les grandes vacances, il donne un
concert avec les touts jeunes Obin Manfeï et Koko Ateba…

kasongomamale says:

Merci pour ces bribes historiques qui, d’une manière ou d’une autre,
contribuent à édifier les jeunes au sujet du patrimoine culturel africain.
Quand je te lis, j’ai l’impression que le Cameroun (pour parler de ce cas
particulier) est un petit peu en perte de vitesse, notamment en ce qui
concerne la musique.

Tokoto Annette Tokoto Annette says:

bonjour à tous papa est décédé aujourd’hui!

Katchinamana says:

1978 peut être considéré, comme le 2e ou 3e grand festival de la musique
camerounaise, je crois. Il y en a eu un en 1973, même endroit, dont
Dikongué Pipa a retenu “l’hymne” (qui a assisté au RDV… par Nelle Eyoum)
dans son film “Muna Moto”. J’écris “je crois”, parce qu’il y avait pas mal
de grandes affiches ds ce stade à l’époque : Fela 1974, Claude François et
Mbamina 1977, et je peux en avoir oublié une ou me tromper sur une date.

kasongomamale says:

Par exemple, quand j’écoute du TOKOTO ASHANTY, bref de ce qu’on peut
appeler l’équipe nationale de la musique camerounaise de ces années dont tu
as été témoin, y a rien à voir avec ce qui se joue aujourd’hui! Où est
passé ce précieux héritage qui attirait tant de célébrités au Cameroun? Où
est donc passé cet héritage dans lequel le “MONDE MUSICAL” venait trouver
inspiration?

Tokoto Annette Tokoto Annette says:

super…… on continue! à la manière du lézard affamé….

thoms903 says:

je vien juste d’apprendre le deces du tres grand ASHANTY je me souviens du
lui quand t’on aller gremper les murs du stade de la reunification pour
voir l’homme du chevre chante mes tres grand condoliance a tous sa famille

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